Est-ce que la ville de Belleville est une parodie des États-Unis ? Le film, cela montre un monde exagéré ou un monde réel ? Le chef d’atelier de décor, Evgeni Tomov, dit que la ville de Belleville est un pastiche du « consumérisme que l’on trouve sur tout le continent américain. » Ce film, comme beaucoup de films qu’on a déjà vu, montre deux mondes – le monde moderne et le monde vieux. Comme les films de Jacques Tati, le monde moderne est contre le monde vieux et un personnage représente le monde vieux. Le personnage montre les difficultés et les problèmes entre les deux mondes. Dans ce cas, le personnage qui représente cela est Madame Souza. Comme les films de Tati (je parlerai au sujet de l’influence de Tati dans ce film dans un autre poste), le film illustre des écueils d’un monde très mécanisé qui est une société de consommation.
Le plus vif exemple du commentaire de la société est les gens de Belleville. Le film commence avec les femmes obèses qui vont au théâtre avec ses maris minces (et on voit que une femme a écrasé son mari), mais le thème de la taille se poursuit pendant tout le film.
(0'10-0’31) On voit le thème de la grandeur avant qu’on fait la connaissance de Champion et Madame Souza, les personnages principaux.
![]() | |
|
![]() |
La Statue de la Liberté dans le film |
Curieusement, on ne voit pas de personnes vraiment grosses dans la ville de Paris. Les personnes qui sont très obèses habitent à Belleville. Belleville, on découvre, est une parodie de New York, la plus grande ville en termes de population et le microcosme des États-Unis. Au lieu de tenir un livre de lois, la Statue de la Liberté tient un hamburger. La justice et la liberté ne sont pas les plus importantes valeurs, la plus importante valeur est le consumérisme et en particulier, la nourriture.
À ce sujet, c’est essentiel de commenter que les bâtiments renforcent l’importance du consumérisme – on voit un bâtiment qui a un grand hamburger au-dessus de la porte et le bâtiment de la Mafia a des grandes bouteilles du vin.
On voit que les personnes saines sont la minorité et que le monde moderne et consumériste tente de les détruire. La Mafia enlève les personnes saines, les bicyclistes, les injecte avec le vin, et les oblige à la course.
Et vous, est-ce que vous pensez que Chomet attaque la société consumériste et en particulier, les États-Unis ? Est-ce que vous pensez que c’est plus comme un avertissement ou un présage de ce qui pourrait arriver ?
Pour plus d’information au sujet du film :
http://diaphana.fr/media/les-triplettes-de-belleville/DOSSIER%20DE%20PRESSE_TDB.pdf
http://diaphana.fr/media/les-triplettes-de-belleville/DOSSIER%20DE%20PRESSE_TDB.pdf
-Natalie
Bonjour Natalie! Nous avons présenté nos recherches la semaine dernière au sujet des personnes différentes qui ont joué un hommage Chomet. J'ai trouvé que les femmes obèses et les hommes maigres ont rendu hommage à Albert Dubout. Le thème de l'un de ses dessins célèbres était le couple avec "la grosse bonne-femme et son fils Petit Bonhomme".
RépondreSupprimerhttp://www.dubout.fr/fr/dessins/couples/index.php
Je pense que Chomet a attaqué les gens en général au sujet de leurs obsessions. Les Américains sont obsessesed avec de la nourriture et les cyclistes sont souvent obsédés par la célébrité et la compétition. Je crois que Chomet n'est pas contre les traditions des États-Unis ou en France, mais je crois que Chomet veut exagérer combien les désirs et les ambitions du peuple les rendre fou et exagérer comment les ambitions les amenent à oublier ce qui est important. Dans le film les cyclistes ont pédalé leurs vélos jusqu'à ce qu'ils soient totalement fatigué. Leur seul but était de cycle. Lorsque Chomet a été sauvé par sa grand-mère, son seul but était de cycle. Je trouve étrange que les cyclistes ne parlaient jamais parce qu'ils ont été absorbés dans leur passion. L'objectif de la mafia était de faire de l'argent et tuer tout ce causé leur entreprise pour faire moins d'argent.