Bonjour !
J’espère que tout le monde a passé des bonnes vacances. Aujourd’hui je voudrais parler de De bruit et de fureur de Jean Claude Brisseau, un film qui montre la vie quotidienne dans la banlieue dans les années 80 en France. Je crois que le thème le plus important du film est celui de la liberté : pour la liberté contre des figures autoritaires, la liberté contre des règles sociétales, ou peut-être la liberté contre des restrictions qui tiennent ces banlieusards dans une zone de violence. Nous avons vu fréquemment ce thème de la liberté dans quelques autres films, comme Zéro de conduite de Vigo et Les 400 coups de Truffaut. Quand j’ai vu initialement De bruit et de fureur, il y a une scène d’une révolte à l’école et j’ai eu la sensation bizarre de l’avoir déjà vue. J’ai revu encore la scène de l’école dans Zéro de conduite et j’ai trouvé des grandes similarités avec la révolte à l’école que Brisseau a montré dans son film. Voilà la scène de la révolte dans Zéro de conduite et celle-là dans De bruit et de fureur :
L'extrait de Zéro de conduite:
Les images de De bruit et de fureur :
Notez les similarités : Le déluge des élèves dans la cour d’école, le cri de la victoire de l’instigateur de la révolte sur le toit avec le ciel derrière de lui. Peut-être est-ce qu’un petit hommage à Jean Vigo ? Qu’en pensez-vous ? Est-ce que vous avez vu d’autres similarités ?
- Brooke
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RépondreSupprimerTrès bien, Brooke. Je peux voir des similarités dans les deux films, surtout celles qui concernent la révolte des enfants. Je la trouve très intéressante que l’usage de l’espace est très semblable dans les deux exemples. Dans la salle de classe dans De bruit et de fureur, l’espace est petit, ainsi limitant le mouvement des enfants : pour moi, cela ressemble une prison. Dans le dortoir de Zéro de Conduite, l’espace est bien organisé jusqu’au complot, et la révolte rend le désordre plus frappante parce le dortoir se transforme à une sorte du champ de bataille où les petits enfants soldats marchent vers une bataille. Donc, pour moi, les deux exemples présagent la guerre qui suit entres les enfants et les adultes. Hors de la classe, dans le quad, l’espace est très ouvert dans les deux exemples, et cela signifie la liberté : les enfants se libèrent de l’oppression. Pour les chefs de la victoire dans les deux films, le toit symbolise la suprême liberté, et la hauteur peut-être représente un type de trône pour les chefs. Donc, pour moi, De bruit et de fureur est une œuvre qui rend hommage à Jean Vigo. Je suis sûr qu’il y a beaucoup d’autres similarités dans les deux œuvres.
RépondreSupprimerC’est une bonne connexion entre le deux! J'aime que les deux films sont crée dans deux décennie complètements différents avoir la même problème. Les étudiants veulent toujours être n’importe où qui n’est pas la classe. Je n’ai pas encore vu le film, de bruit et de fureur, mais c’est très possible qu’il y a beaucoup des hommages à l’autres réalisateurs aussi. J’aime que nous apprenions le début du film, donc maintenant nous pouvons voir que les réalisateurs aujourd’hui utilisent beaucoup d’idées des réalisateurs comme Godard, Truffaut et Vigo. Comme j’apprenne avec ma présentation de Fahrenheit 451, je vois que Truffaut utilisait des idées de Godard. C’est une longe chaîne.
RépondreSupprimerBon travail, Brooke. Pour moi, c'est très intéressant que les films nouveaux même font des références à des films vieux, comme Zéro de Conduite. Quand j'ai vu ton présentation sur De bruit et de fureur, j'ai aussi remarque des références a Truffaut et Les 400 Coups. Peut-être, c'est à cause de Les 400 Coups a fait des références à Zéro de Conduite ainsi. On peut dire que les enfants dans De bruit et de fureur sont les enfants en crises, comme Antoine.
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