lundi 19 septembre 2011

Réponse à André Bazin :


La première phrase du dossier d’André Bazin soulève une question très importante : quand on parle du rôle du décor, est-ce-que c’est un rôle dramatique ou un rôle plutôt psychologique? Je suis d’accord avec Bazin – le décor nous donne un aperçu des habitants des environnements qu’on analyse. Comme le remarque Bazin, la chambre de François est organisée avec l’exception des objets sportifs. Cela aide à constituer le caractère de François – son monde est organisée, mais après les conflits avec Valentin, son monde est confus et embrouillé, et il réagit avec violence. Cela est représenté avec le décor aussi – dans les séquences du « présent », il bouge ses meubles, et il arrête de faire tomber la cendre de la cigarette dans le cendrier. Tout, cela nous donne une image de François avant le meurtre de Valentin, et une nouvelle image après le meurtre.
Un autre exemple des influences du décor est dans la maison de Françoise. Ses vêtements (ou les vêtements de sa famille) sont accrochés dans la chambre avec hasard. Cela m’intéresse parce que, sur la surface, il-y-a beaucoup de similitudes entre les deux François(e) (comme les noms, leur patrimoines comme orphelins) mais quand leur caractéristiques sont représentés par leur décor, il-y-a des différences flagrantes.
André Bazin utilise la phrase « documentaire social » dans sa description du décor. Quand une audience du 21ème siècle  regard un vieux film, nous recevons un aperçu de la culture du  passé. Pour moi, ça c’est un « documentaire social » : le passage des idées culturelles entre les générations.
En conclusion, Le Jour se lève utilise le décor d’une manière très efficace pour accentuer les traits des personnages. Quand on fait comparaison avec les films plus vieux qu’on a déjà vu, je pense qu’il est révolutionnaire dans l’utilisation du décor.

Ryan

1 commentaire:

  1. La grandissante inquiétude qui crée un sentiment du fatalisme tragique est bien établi grâce a la mis en place, et c’est bien observe dans le décor dans Le jour se lève. Au début, on a tout les choses qui servent à prévoir et présenter leurs importance en plein air : le nounours, la cravate dans l’armoire, les cigarettes, le miroir. Le décor dans Le jour se lève ne serve pas seulement a créer la scène ou l’action se déroule, c’est une source d’action, une source d’émotion, et une source d’réflexion. La plupart du décor devient une pistole d’Anton Chekhov, et Carne utilise l’attente à créer des tensions écrasantes dans sa cellule.
    Au début, grâce a le décor, on peut voir des habitudes de François, évidement bien établi quand il les fait après qu’il a tue un homme et le police l’encercle : il monte son cravate dans l’armoire et il fume une cigarette. Avec la progression de l’histoire, la plus intéressante chose avec le décor, c’est qu’il transforme. Le miroir devient une source d’haine pour François, d’haine de soi-même et les événements précédents, et transforme littéralement quand il fracasse progressivement. Les cigarettes aussi transforme, d’une habitude et simple acte à une représentation physique de la flamme de sa vie qui diminue. L’armoire transforme la porte, et soudainement, son dernier résistance contre la police est devenue une grand, menaçante porte qui ne mène à rien qu’un cercueil.

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