mardi 20 septembre 2011

Le milieu et son rôle dans le comportement des enfants

Dans le film, Les 400 Coups, je crois que Truffait fait un commentaire précis sur l’idée que le milieu peut jouer un très grand rôle dans la formation du comportement d’un individu. Le thème central concerne Antoine, le personnage principal qui est affecté dans ses rapports quotidiens avec son professeur, sa mère et son beau-père. A l’école, il semble que ce n’est pas sa mauvaise conduite, mais sa présence qui met son professeur en colère, car Antoine est souvent le seul enfant qui a des ennuis parmi une classe d'éléments perturbateurs. Même chez lui, sa mère et son beau-père, très agités par sa présence, le traitent comme s’il est assommant et le mènent à la baguette. En autres termes, les adultes ne l’élèvent pas et il est forcé de recevoir de mauvais conseils de son ami, un autre enfant. Cela le force à grandir rapidement malgré sa jeunesse. Sans une seule influence positive, Antoine doit devenir un adulte lui-même, et à la suite de quelques mauvais choix, il souffre des conséquences sévères. Dans cette scène, c’est la première fois où on voit une adulte, une psychologue, qui parle franchement avec Antoine et lui prête attention. Ici, on voit la particularité du comportement d’Antoine,  qui ressemble à un adulte très assuré.


Ici, Truffait joue avec un plan rapproché et un plan fixe dans cette scène. Ces effets rendent cet extrait très intime et vivant, comme un vrai documentaire. Dans une rédaction publiée par Julie F. Codell dans le journal Biographie, Truffait, en décrivant les inspirations de ses films, dit que « nothing is invented. What didn't happen to me personally happened to people I know, to boys my age and even to people I read about in the papers. Nothing comes from pure fiction, but it is not an autobiographical film completely»
Dans l’autre extrait, on voit Antoine et ses amis parmi de petits enfants qui assistent à un spectacle de marionnettes. Ici, c’est intéressant qu’Antoine et ses amis ne s’intéressent pas à ce spectacle, ce qui sert à représenter la perte de sa jeunesse et de son innocence.  


Mais pensez-vous que c’est le milieu stressant et les rapports tendus avec les adultes qui rendent le comportement d’Antoine rebelle ? Ou est-ce que c’est simplement sa nature ?  

Anthony


5 commentaires:

  1. Il y a beaucoup de similarites entre ce film et Zero de conduite. Tous les trois Antione, Caussat et Bruel révolte dans un sens. Antoine qui acte plus agee decide d’echapper sa vie et continuer seul. Caussat et Bruel révolte literellement quand ils jettent les objets du toit du college. Chaque film montre la difference entre les adultes et les enfants et c’est toujours l’adulte qui est mechante. C’est degoutant de penser que ce film etait base sur la realite. Pour les enfants d’etre traiter comme prissoniers et frappe toujours, les circonstancs doivent etre tres mal. Oui, Les enfants put-etre sont difficiles mais ce n’est pas cause de les attaquer. Les parents ont la responsibilite d’aider leurs enfants.

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  2. Je suis d’accord avec Bennet. Anthony pose de question : la conduite d’Antoine, est-elle à cause de la nature ou de la nourriture des parents ? Malgré qu’il soit évident qu’Antoine a une propension pour la rébellion, je crois que l’indifférence des parents joue le plus grand rôle dans la désobéissance d’Antoine. Les parents ne lui font pas attention, comme l’instance où ils ont laissé leur fils tout seul pour un week-end. Leurs solutions pour les indiscrétions sont 1) ils lui donnent les punitions ou 2) ils lui ignorent, mais ils n’essaient pas de lui comprendre. Malheureusement, ce traitement existe en réalité : en fait, Truffaut était exposé de conditions similaires dans son adolescence. Mais, comme Truffaut, je pense qu’Antoine puisse échapper ce cycle de petite-crime. La scène du psychologue suggère une sincérité innée d’Antoine, peut-être emmenée en réponse d’attention fait par l’adulte. Cette sincérité est probablement un effet de l’improvisation d’acteur, une pratique qui émerge dans l’époque de Nouvelle Vague. On gagne une perspective de la vrai vie du garçon, et les circonstances qui avait formé son comportement. Cette scène suggère aussi que le chose ce qu’Antoine veuille vraiment est la liberté : la fuite des désappointements des parents, des professeurs, et la liberté de l’indifférence.

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  3. Brooke et Bennett ont déclaré bonnes opinions sur ce film. Anthony, je voudrais faire un commentaire sur votre déclaration au sujet de ce film comme un « vrai documentaire ». J'ai lu dans le livre et je suis d'accord avec la critique dossier de Fereydoun Hoveyda au sujet de Les 400 Coups. Le style de Truffaut donne la liberté de films et des illusions pour les être réel. Dans votre clip des enfants regardant les poupées, il est évident que les enfants étaient vraiment engagés dans le spectacle. Truffaut a utilisé les actions naturelles et l'innocence des enfants pour faire appel pour une raison. Je crois que l'attitude d'Antoine contre les enfants permet aux spectateurs de comprendre comment Antoine est différent des enfants typiques. Il affirme également que Truffaut ne pas utiliser d'objets dans ses films pour symboliser caractères. Je me souviens des symboles de Le Jour se Lève. François semblait très nerveux quand il fumait son cigare. J'ai beaucoup aimé le clip de ces enfants parce qu'ils ne savent pas qu'ils sont filmés. Je voudrais connaitre cet question. Quel est l’angle que le caméraman que le caméraman a utilisé pour filmer des enfants? Je pense qu’il est plongé et il pivote la caméra.

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  4. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  5. Anthony pose la question que la fuite d'Antoine, est-ce que c'est à cause de ses parents ou est-ce que c'est naturel? Je pense que c'est un mélange des deux, ou peut-être que sa punition par les adultes ont intensifié sa désir de se révolter. Il n’était pas innocent, mais les consignes par les adultes l'influencent de faire les bêtises plus graves et de révolter. C’était un cycle : Antoine fait quelque chose pas bien, les adultes lui punissent et Antoine fait quelque chose plus mauvaise. Les adultes n’étaient pas justes avec leur punition et les enfants deviennent plus fâchés et veulent de faire les actions plus graves.

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